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CONFIANCE - PARTAGE - Page 18

  • Écoutons le Silence

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    Pour ce mois de septembre, je vous propose de parler du Silence.

    Tiens en écrivant, cela peut paraître paradoxal de «parler» du «Silence». Ne faudrait-il pas se taire pour qu’il y ait silence ?… Non, je ne pense pas, car il y a silence et Silence.

    Si l’on parle du silence comme d'une absence de bruit, alors effectivement, il vaut mieux se taire. Tout bruit devient incommodant. Je voudrais plutôt m’entretenir avec vous du Silence, le Silence que j’ai pu rencontrer et goûter en Chartreuse, que j’oublie parfois d’écouter et qui, de plus en plus, ne me quitte plus.

    Mais le silence avec un petit «s» est aussi intéressant. Parfois, il est bon de sortir des bruits de la vie courante, de sortir du tumulte du quotidien, de rechercher un endroit calme et retiré. Cela permet de se retrouver face, dans un premier temps, à une absence. Le temps de notre vie ne se remplit plus de la foultitude des occupations. C’est déstabilisant, car c’est alors que l’on se retrouve face à soi-même. Dans cette absence, il est possible de réaliser que le tumulte des activités cache en fait une réalité sous-jacente : LA VIE.

    Tout n’existe que parce que la vie sous-tend toute la création et toutes nos oeuvres. Dit autrement, sans la vie rien n’existe.

    Qu’est-ce que la vie, me direz-vous ?… Pour moi, bien sûr la réponse est simple : Dieu existe ; Il est la vie ; le monde ne tient que par ce qu’il reçoit de Dieu.

    Et cette vie, donnée avec largesse, sourde en Silence au coeur de toute la création.

    C’est à ce Silence que je vous invite à porter votre attention. Ce Silence que l’on peut percevoir justement dans les moments de prière profonde, dans l’attention à l’instant présent. Ce Silence qui n’est plus alors absence, mais présence nourrissante, qui est porteur de vie et de jubilation intime, plénitude enfin retrouvée.

    J’ai consacré dans le forum un thème sur la prière, où je préconise un quart d’heure de prière quotidienne. Ce moment sert de puits pour se ressourcer, pour ouvrir un espace où le Silence peut s’installer, s’épanouir et s’exprimer. Dieu présent en notre coeur.

    Que le Silence nous enseigne et nous garde sur notre chemin tracé pour que, pleinement vivant, nous soyons.

    Amicalement. André.

  • Dieu prend-il des vacances ?

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    Dieu prend-il des vacances ?… Ou bien est-il toujours là présent pour nous ?…

    Ce raisonnement temporel, à sa base, me semble faux. Dieu ne vit pas dans le temps. Il est la vie,… hors de toute notion de temps. En lui, ni fatigue, ni repos. Il est énergie et ne peut donc en manquer. Toujours agissant et toujours présent. Il nous attire à lui, pour nous unir à lui.

    Ainsi donc, nous pouvons continuer à le prier en tout temps et à toute heure ; nous pouvons être sûr qu’il répondra sans tarder !!

    Au commencement de toute action, il y a la demande :
    sans demande, nous ne pouvons agir que par nous même, ce qui limite considérablement nos possibilités. Nous avons certes des capacité, mais elles n’ont leur utilité et leur efficacité maximales que sur le chemin que Dieu nous a préparé. Sans demande, il est fort possible que nous quittions ce chemin, perdant par ce fait même une partie de notre énergie à des actes et à des pensées secondaires qui auraient pu être évités.


    Par une demande toute simple («quelle est ta volonté pour moi à cet instant»), nous nous ouvrons à l’instant présent. Nous entrons en sa présence qui est dans l’ici et le maintenant. Ce n’est pas se faire l’esclave de Dieu, mais entrer en lui, pour agir et penser comme lui. Agir et penser comme lui, c’est tout simplement aimer et ne faire que ce qui est bon. Qui ne rêve d’être bon et aimable ? C’est dans notre nature d’enfants de Dieu, créés à son image !

    Ainsi, même après les vacances, submergés ou pas par les tracas quotidiens, appliquons-nous à nous recentrer sur l’essentiel : entrer dans l’intimité de Dieu ; lui faire une place dans notre coeur ; nous unir à lui. C’est là que se trouve notre véritable bonheur. Et c’est là aussi que se trouve notre véritable liberté.

  • Dieu nous appelle au bonheur

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    Dieu nous a expliqué ces derniers mois que la liberté est indispensable au salut de l’Homme, pour accomplir le projet que Dieu a pour nous.

    Mais moi, André, je ne suis qu’un homme pécheur. Et je n’use pas toujours très bien de cette liberté… Pourtant Dieu a permis que je le rencontre. Non pas que je le voie, mais que je le rencontre l’espace d’un moment de certitude. Un espace selon lequel j’ai eu la certitude qu’Il existe. Depuis, je suis maintenant assuré qu’Il est tout entier présent dans le tabernacle des églises. Les églises catholiques, certes, mais probablement aussi d’autres, cela ne me surprendrait nullement. Dieu s’offre tout entier à l’Homme, et ne se réserve pas seulement pour certains. En trois mots : «Dieu nous aime !!» et j’ajouterais : «Tous !!»

    Comme pour André Frossard, il y a quelques années, et comme certainement pour beaucoup d’autres à travers les siècles, Dieu se manifeste à l’Homme pour que nous puissions avancer dans la compréhension de son mystère. Pourquoi ne se montre-t-il pas clairement ?… Pourquoi pas à tous ?… Pourquoi ?… Pourquoi ?… Encore bien des questions restent à creuser, mais ne perdons pas courage.

    Tout d’abord, je l’ai déjà dit, Dieu ne peut se montrer clairement à cause du péché. Nous serions consumés en un instant. Notre coeur est trop noir pour supporter le feu de lumière pure de Dieu. Ensuite, parce qu’il ne pourrait le faire sans porter atteinte à notre libre choix. Même moi, à qui il n’a fait que donner la certitude de son existence avant de me faire sentir son Amour, il me laisse encore aujourd’hui complètement libre de mes actes et de mes choix. Il me laisse prendre le chemin commun des hommes. En y réfléchissant bien, j’ai même encore la possibilité de renoncer à tout ce que j’ai compris de la vie et de notre destinée.

    Mais non, je ne le veux pas. Et c’est librement que je continue mon chemin. Celui qui me parait le plus droit. Celui qu’Il a préparé pour moi. J’ai bien quelques écarts, mais je m’efforce de le suivre au plus près. Et je me rends compte que, lorsque je suis sur mon chemin, il n’y a plus que bonheur. Dieu a tout préparé, organisé, pour mon bonheur.

    Dieu nous aime. Dieu m’aime. Dieu t’aime. Il ne veut que ton bonheur. Il veut le bonheur de chacun et de tous. «Que ta volonté soit faite !» Si nous suivons sa volonté, ce ne peut être que du bonheur, Dieu ne voulant que cela pour nous.

    Ainsi ne cherchons que sa volonté et vivons heureux.

  • Pourquoi Dieu crée l'homme libre (1ère partie)

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    Ce mois, je continue sur le thème de la liberté, tant il me parait important et complexe.

    Comment un Dieu bon et aimant a-t-il pu créer un monde où l’on y rencontre tant de souffrances, d’injustice et de dérèglements ?………

    Dans cette essai, je ne m’attacherai pas à justifier ou à argumenter, mais je vais plutôt tâcher de voir cette création des «yeux» mêmes de Dieu ; de se mettre dans sa «peau». Je serai peut-être un peu long, mais il me faut d’abord placer le «décor», mettre en scène ce plan de la création.

    Alors commençons…

    1- Tout d’abord,…… «Je suis Dieu»…… ; je suis bon ; je suis heureux ; j’ai tout ; rien ne m’est impossible ; personne ne me dois rien et je ne dois rien ; je ne suis pas seul et partage tout en Trinité ; j’ai toute connaissance ; je suis infini ; en un mots : «ÊTRE» me caractérise.

    2- Ensuite,…… «Je veux que d’autres aient ce même bonheur de vie ; cette même plénitude parfaite ; qu’ils puissent «être»

    3- Comment faire ?…… En créant d’autres Dieux !!

    Mais ce n’est pas une mince affaire !… Déjà, je ne suis pas créé ; je suis Dieu ; Je suis. Alors, si je crée, ce ne peut pas être comme moi. «Je suis» est ma nature. L’incréé ne peut être créé… mais comme je le dis : «rien ne m’est impossible !»… Alors……

    Alors, en fait, comme c’est ma vie qui est un bonheur, il suffirait que je puisse faire participer d’autres créatures à cette vie. Elle est mon Essence, Divine comme moi-même, et il suffit de trouver un réceptacle pouvant vivre de cette vie. Je vais créer une créature capable de devenir participante de ma Vie. Oui, voilà la solution !!

    C’est ainsi que m’est venue l’idée de créer l’Homme. Un être qui a un commencement, mais qui renferme un germe d’éternité déposé en lui ; une âme qui est issue directement de mon essence. Ce sera un être qui vivra de la même vie que moi…
    Et pour que cela fonctionne, il sera trinitaire, à mon image, c’est gage de bonheur… Et il aura forcément conscience de son existence… De plus, ma vie est Amour et il saura aimer comme j’aime… Oui, c’est cela que je veux. Un Homme avec un grand «H», qui soit comme moi, Dieu, Heureux et Aimant.

    Ce n’est néanmoins pas une mince affaire. L’Amour nécessite une pleine et entière liberté d’adhésion. Pour aimer, on ne peut y être contraint. Aimer est un acte totalement gratuit ; il ne se marchande pas. L’Amour donne tout, sans rien attendre en retour. Il faut être Dieu, ou presque Dieu, pour comprendre ce qu’est un tel engagement. Et quand on aime, ce n’est même plus un engagement ; cela va de soi. C’est simplement la marque de l’amour.

    Ainsi, le Père donne tout à son Fils, gratuitement. Le Fils donne tout au Père, tout aussi gratuitement. Et ce flux de circulation d’Amour est porté par l’Esprit qui reçoit tout du Père et tout du Fils, et le redonne aussi en totalité, toujours aussi gratuitement. Aucun ne réclame quoi que ce soit de l’autre……… et pourtant cet Amour circule depuis toujours, et toujours en totale liberté. C’est là la source intarissable du bonheur.

    …… Il va falloir que l’Homme apprenne !!!!!!

    Je ne peux pas lui imposer cette loi d’amour. Il doit l'accueillir librement……

    Pour que l’Homme soit Trinitaire, je vais adjoindre un corps à son âme. Il pourra l’aimer. Dialoguer avec lui. Le chérir. Prendre soin de lui. Et celui-ci lui rendra bien des services. Il lui permettra de façonner la matière (la matière est issue de moi, Dieu). Par son corps, il façonnera la Création ! Ce n’est pas une mince affaire !! Façonner la création, c’est participer activement à la Création. Cela relève de Dieu ! Et pour que l’âme et le corps soient parfaitement unis, je leurs insufflerai mon propre Esprit. Cet Esprit d’Amour ! Oui, c’est comme cela que je conçois l’Homme. Un Dieu à part entière, vivant de Mon Esprit.

    Mais il doit apprendre la loi de l’Amour. Cette loi, Saint Augustin l’a bien résumée : «Aime, et fais ce que tu veux !!»

    C’est «ÉNORME» cette loi. Comment juger un acte fait par amour ?!?… Est-ce bien ?… Est-ce mal ?… Réponse : Il ne peut tout simplement pas être jugé. L’Amour n’est que Bien et dépasse tout jugement qui ne soit pas issu de l’Amour.

    L’Homme doit apprendre qu’il ne peut juger ; il faut être Dieu pour cela. Il faut être Amour. L’homme n’est pas encore prêt. Je lui dis : «Ne prends pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, sinon tu mourras…» Le jugement apporte la mort s’il n’est pas illuminé, apaisé, par l’Amour.

    …… À suivre……

    Avec mon amitié. André.

  • Pourquoi Dieu crée l'homme libre (2ème partie)

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    Suite de la Création…

    Pour rappel : je suis Dieu et j’ai entrepris de créer l’Homme. Une créature capable de vivre de ma vie divine.

    D’emblée, je lui donne un esprit de vie. J’insuffle dans ses narines un souffle qui ressemble à mon Esprit. L’homme a encore à apprendre. L’homme n’est pas Dieu de naissance. Il est homme et pour pouvoir devenir Dieu, il devra se laisser remplir de mon propre Amour, de mon propre Esprit, et ainsi ne plus faire qu’un avec moi. Dans cet ordre de création, l’homme est déjà un dieu en lui-même, mais avec un petit «d». Il a son âme éternelle, son corps qui lui permet d’agir sur la création, et son esprit qui fait son unité. Il est déjà heureux, mais cherche encore le sens ultime de sa création. Il n’est pas encore Dieu. Il n’a pas encore fait le choix de l’Amour, le choix de Dieu.

    Ce choix de ne faire qu’un avec moi doit être librement consenti. Aucune contrainte. Une totale liberté de choix, sans quoi cet amour ne serait pas le véritable Amour. Comme je l’ai dit, l’Amour est gratuit et libre de toute contrainte. Je crée donc l’homme imparfait, et perfectible. À sa conception, il aura un manque, et il n’atteindra la perfection qu’en accueillant l’Amour.

    «Il n’est pas bon que l’homme soit seul…». Je lui crée un vis-à-vis. Son vis-à-vis aura la part qui lui manque. Et de même le vis-à-vis aura une part qui n’appartient qu’à son partenaire. Ainsi ils pourront tous deux avoir une idée de la perfection attendue. À chacun de combler son propre manque. Je suis Dieu, j’aime ma créature et j’ai tout mis en place pour qu’il puisse venir jusqu’à moi ; pour qu’il puisse vivre de ma Vie ; pour qu’il puisse devenir Dieu, comme Moi. Une seule Vie. Un seul Dieu. Toujours Unique puisque je suis la source de tout. Je ne saurais me diviser, mais me multiplier, oui !

    L’homme est créé ; Il est temps que je me repose……

    Le danger est que l’homme se croie dieu tout seul. Il est déjà tellement grand que cela peut lui monter à la tête. Qu’il peut se prendre pour plus qu’il n’est. «Ne mange pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal…». Je demande à l’homme de me faire confiance, de ne pas juger du bien fondé de mes actes. Je lui en dis même les conséquences : «Tu mourras…». À vouloir juger du bien et du mal, à vouloir se faire mon égal sans être tout amour, l’homme se perd lui-même. Je lui interdit donc l’accès à l’arbre de vie ; qu’il ne se perde pas pour toujours.

    Nous connaissons la suite… Ce qu’il se passe entre Caïn et Abel en est un fidèle résumé. L’homme remet en question mes recommandations. L’homme se croit mon égal. Il n’a pas pris conscience de ce qu’est l’Amour avec un grand «A». Si j’agrée les offrandes d’Abel et pas celles de Caïn, ce sont pour de bonnes raisons. Caïn ne peut saisir totalement ces raisons puisqu’il n’est pas tout Amour. Il se permet de juger de lui-même, se laisse dominer par la jalousie et tue Abel. Et c’est le propre de tout homme. Il n’écoute pas son intime conscience, se permet de juger autrui et ma création, et parfois fait de bien mauvais choix.

    Mais l’homme peut inverser le cours des choses. Il peut ne pas se laisser dominer par ses pulsions qui le mènent à la mort. Pour l’instant, seule une minorité de personnes ont réussi à vaincre toutes leurs déviances. Elles regardent en elle-mêmes. Essaient de comprendre la racine de leurs maux. Recherchent la source de l’énergie dont ils ont besoin. Retrouvent l’Énergie originelle et s’en abreuvent. Enfin, deviennent purs comme moi. Cela ne demande pas de grands efforts, seulement de rentrer en soi-même pour retrouver le sens de toutes choses et de la création. Lorsque l’on sait pourquoi on vit, c’est tout de même plus facile.

    L’homme se demande pourquoi le péché d’Adam et Eve se transmet de génération en génération ?… C’est parce que le salut de tous m’importe. La création est une. Un membre est malade, et ce sont tous les membres qui souffrent. Je veux que les enfants n’oublient pas leurs parents et que les parents se sentent responsables de l’avenir de leurs enfants. Je veux que toutes mes créatures atteignent au salut promis. Je ne veux pas qu’il s’en perde une seule. Si une créature échoue durant sa vie, elle ne pourra pas persévérer continuellement dans le mal. La mort l’arrêtera. Et je veux lui laisser la possibilité d’être rachetée par ses pairs ou ses descendants. Ainsi, tous les hommes restent solidaires, unis dans le bonheur comme dans le malheur. Vous voulez juger ? Eh bien soit ! Que le jugement vous retombe dessus. Apprenez que je suis Dieu. Je ne vous juge pas (pourtant je le pourrais !) et ne veux que votre salut. Venez à moi et vous serez sauvés, vous, et tous ceux à qui vous accorderez le pardon.

    Je me fais le gardien de votre vie et vous conduirai par des chemins connus de moi seul, pour venir jusqu’à ma rencontre. Je vous attends. Bien plus, je viens au devant de vous. Je vous cherche. Laissez vous trouver ! Je ne vous demande rien en retour ; je vous aime. Je veux seulement établir en vous ma demeure. C’est là tout mon bonheur : vous donner mon amour en partage.

    Mais l’histoire de l’humanité n’a pas suivi ce chemin. L’homme a péché.

    Au lieu de me faire confiance, l’homme ne m’a pas obéi. C’est son choix et je le respecte. Pour rappel, cette liberté était d’ailleurs la condition pour qu’il puisse Aimer comme moi. L’homme aurait pu faire tout de suite le bon choix : ne pas pécher et accéder à notre union. Mais il n’en a pas été ainsi. L’homme a péché.

    J’aurais pu le renier ; dire qu’il n’est pas digne de moi ; annuler ma création ; ou effacer seulement l’homme de la création ; etc… Mais je suis Dieu. Je suis Amour. Cette créature que je veux libre, je ne peux me résoudre à l’abandonner… quoi qu’il m’en coûte.

    Et c’est là le début de l’histoire de l’humanité. Par le péché, la souffrance est entrée dans le monde. Je l’assume car c’est ma création. Heureusement, je suis Dieu et rien ne peut m'échapper. Je contrôle tout, et même si l’homme pèche et fais le mal, j’ai suffisamment de ressources pour continuer à le conduire jusqu’à moi, jusqu’à son bonheur.

    La liberté de l’homme est à ce prix. Je n’ai pas voulu qu’il souffre et que règne l’injustice. Mais je respecte les choix de l’homme. J’accepte qu’il puisse s’éloigner de moi. Et j’ai confiance qu’il reviendra lorsqu’il aura appris de ses erreurs. L’histoire du fils prodigue en est le parfait exemple. J’accueillerai l’homme les bras ouverts et ferai la fête à son retour ! Qu’il ose seulement revenir à moi. Qu’il comprenne combien je l’aime…