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  • Régénéré aujourd'hui

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    Je voudrais vous parler de régénération. Mon épouse m’a parlé d’un site intéressant : www.regenere.org

    Je partage tout à fait le point de vue de Thierry selon lequel nous ne sommes pas programmés pour être malades. Ce sont nos dérèglements qui sont sources de tous nos maux, et eux seuls. Quand je dis « nos » dérèglements, j’entend les nôtres en propres, mais aussi tous ceux de l’humanité à laquelle nous sommes reliés ; tout et tous agissent sur nous.

    Je m’intéresse d’autant plus à cette régénération que je suis allé au cinéma voir le film documentaire « Demain ». Dès aujourd’hui, des solutions existent pour une vie plus saine. Dès aujourd’hui, nous pouvons changer notre mode de vie, quitter toutes les distractions et les non-sens qui minent notre santé et l’avenir de la planète.

    Ces deux sources me disent qu’aujourd’hui, par mon engagement personnel, je construit notre demain.

    En théorie, cela semble simple. Dans les faits, il est très difficile de changer ses habitudes. Je me rends compte quotidiennement du nombre d’actions réalisées simplement par habitude, sans vraiment en prendre conscience, et à tous niveaux (alimentaires, rythme de sommeil, attitudes de travail ou relationnelles,…). Quand je faisait de l’assise corporelle, nous tâchions déjà de faire tous nos actes en pleine conscience, en commençant par de petits moments et de petits actes. Aujourd’hui, je m’efforce encore de développer cette attention, mais si je n’y prends garde, je retombe immanquablement dans les habitudes inconscientes. Et que dire si cette attention devait imprégner tous les moments de la journée ! La tâche est ardue !

    Pourquoi cette inertie ? Pourquoi ne prenons nous pas tout de suite les bonnes habitudes ? C’est comme si les mauvaises s’imposaient à nous. Il faut dire que nous ne sommes pas aidés par la société de consommation. L’immense majorité des informations nous pousse dans le sens de la consommation, justement. Le but n’est pas le bien-être, mais le profit.

    Je considère aujourd’hui que ma vie est plus derrière que devant ; j’en ai fait plus de la moitié. Conséquence ? Je peux arrêter de me tracasser pour demain. Je ne sais même pas si je serai encore en vie. C’est aujourd’hui que je vis. Quelle décision dois-je prendre aujourd’hui pour aller bien maintenant ? Question simple pour une réponse bien souvent tout aussi simple, mais qui est si difficile à tenir lorsqu’elle va à l’encontre d’une habitude ou d’un à priori…… pastedGraphic.png

    Allons vers la guérison de notre vie. Amicalement. André.

  • Être Dieu ou le devenir (suite)

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    Je pensais que nous ne pouvions être Dieu et ne pas le savoir. Et aujourd’hui je doute : peut-être que si ! Jésus, en tant qu'homme, ne connaissait pas d'emblée sa nature Divine.

    Cela m’a fait méditer ces derniers jours sur la vie intérieure de l’homme Jésus. Deux phrases me tiennent en haleine : « Rien n’est impossible à Dieu » et « Il s’est abaissé lui-même à notre condition d’homme ».

    Ainsi je pense aujourd’hui que Jésus, tout Dieu qu’il est, n’a pas eu, de naissance, la claire conscience de sa Divinité Filiale au Père. Comme nous, il a cheminé à travers ses expériences humaines. Comme nous, il a scruté la nature, le monde et sa vie intérieure à la recherche de sens. Et comme tout Juif de son époque, il a scruté l’ancien testament pour retrouver ses origines et l’histoire de laquelle il est issu.

    Je pense que c’est progressivement, entouré de ses parents et par la méditation et la prière, qu’il s’est approché du mystère dont il est habité : Sa filiation Divine avec le Père. Lui qui est à l’origine de toute la création a peu à peu réalisé que c’est lui-même, le seul et unique Dieu Fils de Dieu, qui est venu dans le monde, envoyé par son Père, pour annoncer une bonne nouvelle.

    Toutes les écritures l’annonçait et toute sa vie durant il a grandi en grâce et en connaissance de cette filiation, jusqu’à pouvoir appeler Dieu son propre Père, jusqu’à prendre conscience qu’il était le Fils unique du Père, venu en ce monde pour appeler tous les hommes au salut. Son intériorité d’homme s’est ouverte à son Essence Divine.

    Et nous ?! 

    Nous avons en effet notre origine en Dieu. Et si je m’interroge, je peux dire que, par ma foi en Jésus, Fils de Dieu, je suis Enfant de Dieu. Si je ne brise pas ce lien de foi, je suis Enfant de Dieu dès maintenant et pour l’éternité. Jésus est venu pour vivre en nous et nous faire participer à sa filiation Divine. C’est très clairement exprimé dans sa prière avant sa passion (Évangile de Jean, chapitre 17).

    Aujourd’hui, je peux prier : « Dieu ; garde-moi de ne jamais me séparer de Toi ! Ce lien d’amour que je ressens en moi, qu’il reste présent jusque dans l’éternité ! Et que tous les hommes puissent te prier ainsi. »

    Vivons de cet amour dès à présent et je vous embrasse. André.

  • Être Dieu ou le devenir

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    Bonjour à toutes et tous,

    En toute logique, nous pourrions alors penser que Jésus est différent de nous. Oui et Non.

    - Oui : car effectivement il a toujours existé. Il est Dieu par nature « En un commencement était le verbe ». Et Jésus l’a dit : « Avant qu’Abraham fut, Je suis » « Le Père m’a envoyé » « Nul n’a connu le Père sinon le Fils »… etc… Et les Juifs ne s’y sont pas trompés, voulant le lapider pour ce blasphème.

    - Et non : car « le verbe s’est fait chair ». Jésus s’est aussi présenté comme « Le Fils de l’homme » « Je suis venu pour servir » « Je donne ma vie »… etc… Il était vraiment homme, né d’une femme ; ayant une vie inscrite dans le temps, avec une naissance, une enfance et une vie adulte… comme nous !

    La vraie bonne nouvelle, c’est bien que Dieu est venu en notre humanité pour nous élever jusqu’à sa divinité. Pour nous guérir de nos nombreuses fautes. Pour que sa vie soit en nous et déborde de toutes parts.

    Parfois, je me prends à essayer d’imaginer quelle a pu être sa vie d’homme. Était-il conscient de sa Divinité ? Je reste partagé. Certains passages me disent que oui ; il connaissait au-delà d’un apprentissage. Et certains autres passages plutôt non ; il a dû apprendre. Je crois qu’en tant qu’homme, il a été comme nous, découvrant sa vie et le sens de sa vie progressivement ; ayant pourtant quelques repères surnaturels qui l’ont confirmé sur son chemin. Sa compréhension des écritures a été bien plus profonde pour lui que pour nous, n’ayant pas le brouillard du péché comme écran à ses interprétations.

    En tant qu’homme, par rapport à nous, seul diffère le fait qu’il n’ait rien fait de contraire à l’amour. Il est sans péché ; sa divinité ne peut cohabiter avec cette gangrène.

    Pour le reste, comme nous il a eu un cheminement humain, soutenu par la prière à Dieu qu’il pressentait comme vraiment son Père. En tant que Dieu, Fils de Dieu fait homme, sa confiance fut inébranlable devant les desseins de son Père. Il a accompli sa vie d’homme comme tout homme « est invité » à l’accomplir : en obéissance aux desseins du Père.

    Obéir à Dieu, ce n’est pas perdre sa liberté car nous restons tout à fait libre de notre décision. Quelle que soit notre choix, il ne se détourne pas de nous. Dieu est un Bon Père, un vrai Papa, dans le bon sens du terme. Nous comprenons qu’il veut le meilleur pour nous. Le suivre, c’est travailler au meilleur pour toute l’humanité. Il nous aime et nous attire à sa Divinité. Que demander de plus ?…… Suivons-le ! 

    Fraternellement. André.