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Le bonheur se conjugue au présent

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l’Orientation - une fois prise, tâcher de s’y tenir

"Dans tout ce que vous entreprenez, et à plus forte raison dans le travail spirituel, vous devez avant tout chercher à maintenir votre orientation. Car ce qui est nocif, c’est l’indécision : ne jamais bien savoir dans quel sens aller, ou alors, une fois la direction prise, se demander si c’est vraiment la bonne et s’il ne vaudrait pas mieux revenir en arrière ou en chercher une autre.
Commencez donc par bien réfléchir, et quand vous sentez que vous avez trouvé la bonne voie, tâchez de vous y tenir fermement, quoi qu’il arrive. Sur ce chemin, il vous arrivera de faire quelques chutes parce que vous êtes encore faible, mais le Ciel vous enverra de l’aide, ne vous découragez pas. Même si vos vitres se salissent, dites-vous que la pluie demain les lavera et leur rendra leur transparence. Il en est ainsi tout le long de la vie du disciple. Il tombe, il se relève… il se salit, il se lave… Qu’il garde courage en sachant que le Ciel est toujours là pour soutenir celui qui ne quitte pas le bon chemin."

Omraam Mikhaël AÏVANHOV

Cette pensée m’a été transmise à un moment où j’ai eu une petite perte de… d’énergie, dirons nous. Un peu de découragement peut-être. Toujours est-il, qu’elle m’a apporté un réel réconfort.

Il est possible que cette perte de confiance fusse due à de la fatigue, car j’ai eu quelques semaines chargées, mais pas seulement. Je me suis surpris à échafauder des projets pas forcément utiles ni souhaitables, et qui n’occasionnaient que de la perte de temps.

Heureusement, c’est progressivement rentré dans l’ordre, et tout s’est apaisé.

Pourquoi chercher autre chose que le bonheur du temps présent. Le bonheur est dans l’instant, et pas dans ce que l’on peut posséder, ou même envisager de posséder.

Encore ce matin en me levant, je me suis pris à penser que, si je devais refaire ma vie, je la ferais comme je l’ai faite. J’aurais pu faire mieux, certes, mais elle est ce qu’elle est, et je n’ai pas de regret.

 

Je souhaite à tout un chacun de pouvoir trouver cette paix du coeur. Je sais que je suis attendu. Dieu nous aime et nous a préparé une place. Nous sommes tous invités au royaume.

À très bientôt donc. André.

Commentaires

  • Cela me fait penser aux petits enfants dans un environnement bienveillant. Ils tombent, se relèvent, repartent à leurs occupations : jeux, cabrioles... Pour nous cela parait des jeux, mais comme l'a dit un jour le fils d’Alexandre Jollien à son père : "papa on ne joue pas, on travaille". Et quand ils se font vraiment mal, ils vont trouver une personne qu'ils aiment bien pour les soigner, les rassurer, les consoler, et aussi sec ils repartent à leurs occupations.

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