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Le chemin du bonheur

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« Quand Jésus fut amené devant Pilate pour être jugé, celui-ci lui demanda : « Es-tu le roi des Juifs ? » et Jésus répondit simplement : « Tu le dis. » Mais il ajouta : « Mon Royaume n’est pas de ce monde ». Car Jésus n’avait aucune ambition terrestre. Pour lui la véritable royauté était la royauté céleste ; il ne confondait pas non plus la gloire humaine et la gloire divine, et il ne confondait pas non plus les biens temporels et les biens spirituels. C’est ce qui apparaît déjà dans l’épisode où les pharisiens l’interrogent sur l’impôt dû à César ; il se contente de leur répondre : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. »

Si vous voulez devenir un véritable disciple de Jésus, tâchez aussi de ne pas confondre la terre et le Ciel. Et surtout, gardez-vous de penser qu’un engagement spirituel doit vous apporter des avantages matériels. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

J’ai reçu ce texte il y a déjà quelques temps et j’y avais fait une première réponse :

Pour moi, il y a une correspondance entre les deux domaines. Si tu ne cherches pas une gloire terrestre, cela permet de réaliser ce que l’on a réaliser sans inquiétude, au moment juste et en trouvant la paix. C’est donc que le ciel est connecté au monde présent. Le tout, pour moi est de faire passer le Ciel avant le Terrestre, sans négliger ni l’un ni l’autre. Notre activité s’inscrit dans le Terrestre. Lorsque Jésus a commencé son ministère, après 30 ans, cela a correspondu à un appel de son Père. Auparavant, nous pouvons penser qu’il était simplement un bon menuisier, gagnant sa vie honnêtement. Tant que nous ne sommes pas appelés à une vie « extraordinaire », contentons-nous d’accomplir au mieux notre vie ordinaire, quand bien même ce serait jusqu’à notre décès.

Aujourd’hui, je voudrais ajouter une remarque par rapport à la dernière phrase : « Et surtout, gardez-vous de penser qu’un engagement spirituel doit vous apporter des avantages matériels. »

Un engagement spirituel, pour moi, est un engagement à la prière, et à l’attention à Dieu et à son prochain. C’est un engagement demandé à chacun d’entre nous ; seule diffère la forme de cet engagement. Un tel engagement nous rends attentifs à la réalité qui nous entoure. Elle nous rend attentifs à l’acte juste à exécuter à l’instant présent ; et l’acte juste est bien sûr propre à chacun ; il n’y a pas de règle préétablie.

 

Or, une certitude, notre Créateur a tout mis en place devant nous pour notre bonheur.

 

À nous de prendre notre propre chemin. C’est là que la prière et notre attention font la différence. Cela nous évite les égarements et nous apporte des avantages certains, mais il est vrai, pas forcément matériels. L’acte juste nous conduit tout simplement au bonheur.

Avec toute mon amitié. André.

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