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  • Garder ou perdre le contrôle

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    Une phrase m'a interpellé il y a quelques jours :
    "Qui est-ce qui dit une chose, et elle arrive, quand le Seigneur ne l'a point commandée ?" (Lamentations de Jérémie 3,37)

    Cela rejoint tout à fait une pensée qui m'est constante :
    "Rien ne peut arriver sans que le Seigneur y ait acquiescé."

    Dans ces conditions, laissons tomber la peur, quelle qu'elle soit. Remettons-nous en à LUI. Retrouvons notre confiance en LUI. Comme un petit enfant est tout entier abandonné aux bons soins de ses parents, nous aussi, abandonnons-nous aux bons soins de notre Seigneur. Il nous aime et tout est entre ses mains ; "Rien ne peut arriver sans que le Seigneur y ait acquiescé."

    Une autre réflexion qui vient compléter celle-ci a été affirmée par un ami dernièrement :
    "L'homme a une peur viscérale de perdre le contrôle." (Éric)

    Pour exemple, il a pris l'automobiliste qui perd le contrôle de sa voiture et qui percute un arbre au lieu de tenter de l'éviter. Ce réflexe vient de ce qu'il est préférable d'arrêter violemment le véhicule pour mettre fin à la perte de contrôle, plutôt que de laisser durer plus longtemps cette perte de contrôle.

    Comment vaincre cette peur ?… À mon avis, tout simplement en prenant conscience que "Rien ne peut arriver sans que le Seigneur y ait acquiescé."

    Ce qu'il peut nous arriver de mieux, c'est lorsque l'on fait la volonté de Celui qui ne nous veut que du bien. Prenons seulement garde de ne pas tenter le Seigneur en voulant ce qu'il ne veut pas.

    Amicalement. André.

  • Le bonheur (suite)

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    Je continue sur le même thème que le mois dernier : le bonheur.

     

    Pendant plusieurs jours, les réussites ne réussissaient plus !!?!!… J'avais beau faire et réfléchir ; pas moyen !… En étais-je triste ou désabusé pour autant ? Non. J'avais fait ma part de réflexion et de recherche de solutions ; le reste ne m'appartient pas.

     

    Qu'importe le résultat, ce qui importe c'est la tâche à accomplir. Je suis de plus en plus persuadé que notre vie dépend de nous, de nos choix, mais pas seulement. 

     

    Je m'explique : Jésus l'a dit, nous sommes tous une pierre dans l'édifice, et sans notre pierre, l'édifice est bancal. Il tiendra car Dieu est l'architecte et construit l'édifice en tenant compte de nos manques et de nos faiblesses. Il sait d'ailleurs par avance quels seront nos faiblesses et nos manques, mais le mieux est tout de même de faire sa volonté pour que notre pierre s'ajuste parfaitement à l'édifice. Le but n'est donc pas de réussir à tout prix (le résultat ne dépend pas seulement de nous), mais d'accomplir la tâche pour laquelle nous avons été créés. Et faire la volonté de Dieu, ce n'est pas perdre de la liberté, bien au contraire. Répondre à notre fonction, faire sa volonté, c'est s'accomplir soi-même. Or s'accomplir, c'est bien entrer dans une paix que rien ne peut décrire. C'est accéder au bonheur.

     

    Le fait de ne pas réussir les réussites, ne m'a ainsi aucunement troublé ; je suis resté tout à fait en paix, même si sur le moment cela m'a interrogé…… et j'y ai trouvé le bonheur de la réflexion, de la recherche de sens…

     

    Tout a un sens ; le monde se construit ; il ne part pas à vau l'eau ; la Jérusalem nouvelle s'édifie continuellement. Dieu nous aime et gère toute la création avec notre participation, avec la participation de chacun d'entre nous. Même les échecs sont "reprisés" et participent ainsi à la construction de l'ensemble

     

    Soyez en paix ; trouvez votre chemin du bonheur ; il existe et a été de tous temps préparé pour vous.

     

    Dieu vous garde.

     

    Amicalement. André.