UA-11545158-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Je me tiens à la porte

Imprimer

Peut-être certains d'entre vous connaissent délà ce texte, mais moi je viens de le découvrir et je le trouve d'une telle beauté que je vous le joins à cette note.

Notre Bien-Aimé est joujours là, à la porte de notre cœur, prêt à nous combler de sa Paix et de sa Jubilation. Le banquet des noces est dressé ; qu'attend-on pour le retrouver dans notre intimité ?…

Je sais, les soucis du quotidien, multiples, nous accaparent tellement ! Et ils font naître des peurs sournoises et incontrôlables. 

Et pourtant ! Qu'est ce qui est essentiel ?… LUI seul !! "Cherchez le royaume et sa justice et tout le reste vous sera donné en surcroit !" Quand donc lui ferons-nous totalement confiance ?… Et alors seulement nous pourrons goûter à Sa Paix…

"Je me tiens à la porte"

Commentaires

  • Qu'elle patience de la part de cet ami bien-aimé. Il frappe, attend. Ne se lasse pas. Et quand il peut enfin entrer, offre ce qu'il a de meilleur, sans reproche aucun. Dommage que la peur, la honte... nous prive parfois d'accueillir un pareil ami.

  • Les vacances d’un extra-terrestre


    « Les jolies colonies de vacance, merci maman, merci papa. Tous les jours j’voudrais qu’ça recommen-en-en-ence, youkaïdi, aïdi, aÏda. »

    On me demande mon agendas, savoir quand on peut m’utiliser pour faire leurs bêtises à leur place pendant qu’ils rigolent en douce. Qu’ils aillent se faire voir, je sais très bien faire les bêtises moi-même. Je n’ai vraiment pas à me forcer. Attendez, j’ai quand même 26 ans, sales gosses fainéants, même pas foutus de faire leurs bêtises tout seuls.

    La voisine qui donne mon numéro d’alarme à sa société de télé-surveillance sans même me prévenir. Réveillée à trois heures du matin par la sonnerie, Brinks ? Connais-pas. Je ne réponds pas à trois heures du matin à quelqu’un que je ne connais pas. Qu’elle aille se faire voir, la voisine. Heureusement que j’ai rencontré sa fille plus tard qui m’a un peu raconté ce qui s’était passé.

    Des fois, il y a vraiment de quoi se faire du mourron.

    Ce matin, une bestiole verte, un peu comme une très grosse sauterelle, première fois que j’en vois une de cette espèce. Elle était en train de bouffer mes plus jolies fleurs en me regardant d’un air narquois. Je l’envoie promener avec le tapis que j’étais en train de secouer. Plus tard, je passe l’aspirateur sur la façade pour enlever les araignées et leur toile, je la revoie sur le mur. Je fais ni une, ni deux, je l’envoie dans l’aspirateur où elle est doucement en train de crever. Avec les araignées, attention. C’est très écologique tout ça. Ça consomme juste un peu d’électricité.

    Et tout comme ça en ce moment. Ça n’arrête pas.

    Ma mère qui va dire à mon petit frère : « t’as encore pissé au lit ». Et lui de répondre : « J’ai transpiré ».
    C’est pas fini, en plus, elle est venu me raconter tout ça, outrée. Ça arrive à tous les enfants quand ils sont petits. Ya pas de quoi en faire un drame.

    Après, une puanteur pas possible dans le jardin. Comme il y avait du vent, je me suis dit et si c’était vrai ce qu’on raconte que l’air est vivant et qu’on peut lui demander des services ? Je me suis donc tournée vers le sud du côté où il arrivait et je lui ai demandé bien poliment de chasser ces mauvaises odeurs. Incroyable, ça a marché ! Je l’ai donc vivement remercié, tellement j’étais soulagée.

    La nuit d’avant, coupure de courant dans tout le village. Je me suis donc levée et installée à la cuisine avec deux bougies et une lampe poche et là j’ai tranquillement déjeuné tout en lisant. A peine je commence à mange, le courant revient. Inutile de dire que j’ai fini de déjeuner tranquillement. La coupure à peut être durée une heure, je ne m’étais pas levée tout de suite.

    Là, j’ai vraiment rigolé, mon petit-fils se balade maintenant avec sa pompe à vélo dans son sac à dos, vu que le pneu de la roue avant se dégonfle, mais il ne veut pas le réparer. Je le soupçonne quand même de le dégonfler lui-même. Sur le moment, quand j’ai vu le sac, j’ai d’abord cru que c’était la poignée du sac. Mais non, c’est la pompe.


    à suivre,

Les commentaires sont fermés.