psaume 126

PSAUME 126

 

01 Si le Seigneur ne bâtit la maison, les bâtisseurs travaillent en vain ;

si le Seigneur ne garde la ville, c'est en vain que veillent les gardes.

02 En vain tu devances le jour, tu retardes le moment de ton repos,

tu manges un pain de douleur : * Dieu comble son bien-aimé quand il dort.

03 Des fils, voilà ce que donne le Seigneur,

des enfants, la récompense qu'il accorde ;

04 comme des flèches aux mains d'un guerrier,

ainsi les fils de la jeunesse.

05 Heureux l'homme vaillant qui a garni son carquois de telles armes ! 

S'ils affrontent leurs ennemis sur la place, ils ne seront pas humiliés.

 

Très chers amis, nous ne nous quittons pas tout à fait, puisque nous restons unis en Lui, Dieu. Il est le lien universel ; toute la cohérence et la cohésion est de Lui et en Lui, Lui qui a créé tout l’univers à partir de son Essence, sa Parole, le Christ.

 

01 Il faut comprendre ce texte en se détachant du matériel. Nous sommes chacun une maison et une ville. Nous ne pouvons construire notre personne humaine (de Lui qui nous a donné d’être) sans son concours, sans sa protection.

02 Ainsi, il ne sert de rien de vouloir par notre propre volonté. Nous ne pouvons que nous agiter… et manger un pain de douleur. Dieu comble son bien-aimé quand il se repose sur Lui, en Lui.

03 Par notre seule présence apaisée, nous apportons la Paix au monde. En grandissant en Lui, nous enfantons nos frères en recherche de sens dans leur vie. Toute la création profite de nos progrès.

04 Ces enfants, de par leur reconnaissance de trouver sens à leur vie, sont des armes redoutable contre les agissements du démon. Leur vie devient une prière, arme redoutable.

05 Réjouissons nous les amis. Armons nous ainsi afin de finir notre vie en beauté !! Nous allons bientôt entrer dans une Éternité de bonheur !!

                    Dieu nous aime !

                                     Maranatha !